Nous sommes TOUS confronté(e)s au changement que cela soit dans notre vie personnelle ou professionnelle, parce que chaque minute qui passe nous pousse à aller de l’avant et non au retour vers le passé. Cependant la résistance au changement nous enferme inconsciemment dans le maintien de la zone dite de confort aussi inconfortable puisse-t-elle être. Comme si nous voulions continuer à porter un vêtement qui n’est plus adapté à notre taille, à notre morphologie qui s’est modifiée au fil du temps, dans une nostalgie du passé…
Le cycle du microcosme fait écho à celui du macrocosme, en lien avec le mouvement de la Vie, dans un renouveau petit ou grand, perceptible ou non mais qui est bien constant et permanent.
La joie donne des ailes alors que la peur nous fige.
Le « non mouvement » = l’inertie, l’arrêt… la fin dont l’ultime aboutissement est la mort.
La maladie représente la face émergente (symptomatique) de l’inertie comme une accumulation de la matière qui s’est figée, bloquant la mobilité, l’expression de la vie (le Qi). C’est un signal d’alarme pour nous donner l’opportunité d’être conscient de ce déséquilibre et d’agir : être acteur de notre bien-être et de notre pleine santé, dans notre corps physique et mental.
Changer, c’est « grandir », s’enrichir d’une nouvelle expérience, découvrir des potentiels encore inconnus, souvent inexplorés de nos capacités.
Osons !!
Notre société est en manque de repères et de valeurs fédératrices humanisantes, d’où la recherche d’expériences EXTRA-ordinaires comme le chamanisme.
Pour autant, je recommande la pratique d’expériences sécures, afin de ne pas tomber dans le « boum du tourisme chamanique » pour reprendre la formulation du journal Le Monde (article d’août 2019).
Ma longue expérience de vie et d’accompagnement me guide maintenant à l’essentiel qui est une pratique de reliance à son coeur et d’ancrage
pour délier tous les nœuds toxiques qui freinent notre évolution et notre épanouissement.